INFORMATIONS

Tu m’as bien regardé ? T’as tout noté ? Sûr ? Non pas que je te prenne pour un crétin, hein, mais au cas où, je vais te filer un petit coup de pouce. Retiens au moins ça : je suis une vraie machine !
« Le modèle qu'on vous présente mesure 1m88 pour 83 kg. Sa silhouette élancée en font un sportif de bon niveau qui vous accompagnera pour tous vos joggings ! Il arbore une superbe chevelure mi-longue, douce, et d'un rouge éclatant à en faire pâlir une tomate ! Sans oublier ces grands yeux bruns, étudiés pour juger parfaitement tout ce qui l'entoure. Vous pourrez habiller votre modèle de toutes les façons, mais il est conseillé de l'habiller chaudement et confortablement pour un résultat optimal. Sa voix grave accompagnera vos journées de divers morceaux musicaux, du classique au hard métal, en passant par le jazz et l'électro, avec des performances spécialement étudiées pour le rock. N'hésitez plus ! »



Akaito, il est franc, c’est cool, toujours à dire ce qu’il pense, peu importent les conséquences ! Akaito, il aime bien protéger ceux qui sont plus faibles, les petits oiseaux tombés du nid, et il est persuadé que ça lui retombera dessus un jour.  Akaito, il est agressif, soupe-au-lait, brusque et autoritaire, mais complètement charismatique. Après tout, tout le monde aime son humour noir et douteux. Akaito, c’est le genre « fais ce que je dis, pas ce que je fais ». Immoral, et sentencieux, le parfait cocktail ! Il est moqueur, persifleur, médisant, on se demande comment il peut avoir des amis. Peut-être parce qu’il est manipulateur comme pas deux, le sale gosse. Akaito, il se gêne pas, il s’en fout, il écoute pas, il a autre chose à faire. Akaito, il juge tout le monde et ne tolère rien, toujours en train de se plaindre !  Et pourtant, il est gentil parfois, bienveillant, attentionné. Ça c’est si il t’as choisi, s’il a vu direct que tu es une bonne personne. Bien sûr, il te charries, bien sûr il t’énerve au plus haut point, et tu voudrais lui mettre des baffes, mais bon, est-ce que tu peux résister à ce petit sourire en coin qui veut te dire que t’es son ami ? Il faut voir le bon côté des choses, avec lui on s’ennuie pas ! On bouge, toujours, on s’embarque dans les ennuis, mais qu’est-ce qu’on se marre !


• Code du règlement : Et bah voilà ♥
• Niveau de RP : 7/10 ?
• Suggestions : Plus de paillettes !
• Comment avez vous découvert le forum ? : Louloute Miki, louloute Kula et louloute Rin.

JUST A STORY

I’m a poor, lonesome cowboy  ~
Je ne suis pas intéressant. J’aimerais affirmer le contraire, avoir une vie à étaler, mais pourtant… Je suis né dans une famille modeste. Mon père était journaliste, ma mère employée de bureau dans une agence de marketing. Les deux rarement à la maison, j’ai grandi avec une gentille nounou qui s’est occupée de moi jusqu’à mes 8 ans.  J’étais un enfant plutôt normal, bon développement, légèrement trop agité, curieux comme il faut l’être, faisant peu de bêtises (mais quand j’en faisais une, il fallait voir l’hécatombe). Et puis, crise obligeant, ma mère s’est fait licencier. Elle est revenue, ravie de pouvoir s’occuper de son bout de chou, a congédié ma nourrice adorée et s’est attaquée à la tâche de m’élever comme il se devait. Cependant, le gamin que j’étais ne le voyait pas de cet œil. Comment ça, on m’enlevait la personne qui s’était occupée de moi toute ma vie pour la remplacer par cette femme trop sévère qui oubliait parfois de venir me chercher à l’école ? Injuste ! Malgré tous nos efforts, je n’ai jamais réussir à m’entendre avec ma mère. On ne se comprenait pas, c’est tout. Quand à mon père, les fois où il était là, il était si fatigué qu’il sortait à peine de sa chambre.
C’est dans cette atmosphère plus que libre que j’ai grandi. Et plus je grandissais, moins ma mère réussissait à me tenir tête. J’étais un sale gosse, un vrai, parfois j’y repense et je me sens honteux. Je n’allais que rarement en cours, traînais dans la rue avec des « amis » plutôt douteux… Bref, un mauvais exemple. Ce n’est qu’à mes 17 ans que j’ai finalement été viré de mon lycée. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, si j’ose dire. Après ça, je suis resté un an à la maison à ne rien faire, et un an de plus à travailler comme livreur de pizza dans la capitale pour un salaire de misère. Même moi je commençais à me désespérer de mon sort. Finalement, j’ai commencé à me renseigner sérieusement pour reprendre un semblant d’étude. Ma mère, ravie de ne plus avoir à me menacer de me foutre dehors, m’a parlé d’un pensionnat où était inscrit mon cousin. Apparemment, c’est le top du top, et en plus, ils aident à former de jeunes musiciens, ou je ne sais quoi. Depuis que j’étais petit, je voulais jouer dans un groupe de rock, alors ça m’a semblé très bien.  Tout bénef’, j’étais débarrassé de ma mère, elle était débarrassée de moi, tout allait bien. En route, donc.